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origine des mots/expressions

  • origine du mot "tiramisu"

    j'ai fait une petite recherche sur la signification et l'origine du nom du célèbre gateau italien "TIRAMISU"

     

    44628b122414da47be71d819c3d93cf8.jpg

    et j'ai trouvé ceci :

    Il y a beaucoup de théories sur les origines du tiramisu : quatre régions d'Italie - le Piémont, la Lombardie, le Frioul-Vénétie julienne et la Toscane - se proclament la terre d'origine de ce dessert.

    Parmi les légendes concernant les origines du tiramisu, on en trouve une qui fait remonter son invention à la fin du XVIe siècle, en Toscane, lors de la visite du duc de Toscane, Cosme III de Médicis, à Sienne. Le duc fit du tiramisu son dessert préféré, ramenant la recette à la cour de Florence, d'où il se répandit en Vénétie, à Trévise et à Venise. C'est à Venise que le mascarpone est ajouté à la recette.

    Le tiramisu est un dessert italien qui veut dire "pense à moi" ou "ne m'oublie pas". Pendant la Première Guerre Mondiale, les femmes prenaient les restes de gâteaux et de biscuits et les arrosaient de café, et les donnaient à leurs maris qui allaient à la guerre. Quand ils sentaient cette bonne odeur de café, ils pensaient à leurs femmes.

    C'est au XVIIIe siècle qu'il commence à être connu en dehors de l'Italie grâce à de nombreux auteurs de livres de cuisine italienne, qui popularisent l'ajout à la recette des biscuits appelés boudoirs.

    Une autre légende dit que pendant la Renaissance les vénitiennes faisaient du tiramisu pour en manger avec leurs amants le soir, croyant qu'il leur donnerait plus d'énergie pendant leurs relations sexuelles. Plus prosaïquement, une autre version dit que ce sont les prostituées vénitiennes, travaillant au-dessus des cafés, qui en auraient acheté la nuit pour leur redonner de l'énergie.

    Une théorie encore plus prosaïque est celle expliquant que le dessert était simplement une manière de profiter des restes de gâteau et de café devenu froid pour ne pas les gaspiller. Il suffirait de rajouter un peu de liqueur pour rendre le gâteau durci plus mou et de recouvrir ensuite le tout de crème ou de mascarpone.

    D'autres disent que le dessert est une invention récente, faite en 1971 dans le restaurant trévisien La Beccherie[1], ou dans son rival également trévisien, El Toulà.

    Selon une autre tradition, il s'agit de la base d'une recette pour convalescence composée de jaune d'œuf et d'alcool qui aurait évolué au fil du temps.

    En Émilie-Romagne il existe une version plus légère, faite avec de la crème, sans boudoirs et avec des lamelles ou éclats de chocolat à l'intérieur. On l'y appelle crema della duchessa ou zuppa della duchessa.

     

  • Le terme "déjà vu", ou "paramnésie"

    j'ai vu le super film "Déjà vu" avec Denzel Washington et Val Kilmer ..

     ce qui m'a donné envie de comprendre ce que ce terme signifiat

    au bout d'une petite recherche j'ai trouvé ça :

    Ce terme décrit le sentiment d'avoir déjà été témoin ou d'avoir déjà vécu (phénomène appelé ecmnésie) une situation, pourtant nouvelle.

    Cette impression peut être déplaisante.

    La confusion se fait toujours à réalité existante dans un autre lieu ou un autre temps ramenée dans une chronologie erronée.

    Elle se produit dans les atteintes diffuses ou intéressant l'hémisphère cérébral droit dans les fronto-temporopariétales, cortico-sous-corticales.

    Ce terme a été créé en 1876 par Émile Boirac (1851-1917), dans son livre L'Avenir des Sciences Psychiques.

    Les personnes épileptiques sont souvent confrontées à l'impression de "dèjà vu" avant une crise d'épilepsie temporale. (Épilepsie affectant la face interne du lobe temporal).

     

    Le phénomène de « déjà vu » a été "repéré" et décrit depuis bien longtemps ; Sir Walter Scott, nottament, en 1815. On estime que ce phénomène bouleversant - au point de faire parfois douter de sa santé mentale celui qui l’éprouve - est invoqué par 30% des individus au moins, surtout entre 15 et 25 ans.

    Bien que le phénomène de « déjà vu » survienne souvent chez des personnes atteintes de certaines formes d’épilepsie, ce n’est pas, en soi, un symptôme d’épilepsie.

    • Certains visionnaires y voient la reminiscence de souvenirs d’une existence antérieure et la preuve de la métempsycose - c'est à dire la réincarnation. On peut sans difficulté écarter cette hypothèse, car le « déjà vu » peut concerner toutes sortes d’objets et de situations quotidiennes contemporaines, qui ont tout de même peu de chance d’avoir eu déjà lieu.
    • D’autres encore ont émis l'hypothèse que le « déjà vu » serait le souvenir de ses rêves prémonitoires.

    Les psychanalystes, qui tentent de donner une explication à tout, pensent que le « déjà vu » manifeste le désir de répéter une expérience passée. Ceci est plausible, avec toute la prudence de mise en ce qui concerne le domaine de l'inconscient. C'est sans doute la neuropsychologie qui fournira peut-être l’explication la plus viable.

    • L’hypothèse actuelle qui permettrait d’expliquer la sensation de déjà vu est la suivante :

    Cette impression serait causée par un arrêt partiel et très court du cerveau. Nous vivons quelque chose; le cerveau s'arrête momentanément d'enregistrer; et nous revivons cette chose au même instant puisque le cerveau ne s'est arrêté que pendant une fraction de seconde.

    A ce moment, nous avons l'impression d'avoir vécu ceci il y a très longtemps puisque, vu qu'il manque une toute petite information à votre mémoire, le cerveau a du mal à reconstruire certaines notions de temps.

    Bien sur, au bout d'une ou deux minutes, le cerveau aura trouvé un complément fictif mais plausible à ce manque, donc cette impression disparaîtra.

    Même chez l'individu mentalement sain, la mémoire reste un outil complexe et très capricieux.


    Cette explication peut sembler beaucoup moins spectaculaire que celle du rêve prémonitoire ou de la métempsycose, mais elle illustre l'étendue du mystère lié au cerveau humain.

     

     

    ==> en définitive j'ai voulu comprendre le terme yekhi ... :D 

  • Tiers monde ?

    Bonjour,

     j'ai remarqué qu'il est fréquent que l'on évoque le "tiers monde" pour  désigner un pays sous développé ou sans culture ...

    ainsi j'ai voulu préciser ici qu'il s'agit là d'une erreur trés répandue de nos jours ..

     

    Le terme tiers monde a été inventé par l'économiste et démographe français Alfred Sauvy en 1952, en référence au tiers état (de l'abbé Sieyès) français sous l'Ancien Régime, afin de désigner l'ensemble des pays du globe qui n'appartenaient ni au bloc occidental (Amérique du Nord, Israël, Europe de l'Ouest, Australie…), ni au bloc communiste (URSS, Chine, Europe de l'Est…).

    « car enfin, ce tiers monde ignoré, exploité, méprisé comme le tiers état, veut lui aussi, être quelque chose »
    (article Trois mondes, une planète, L'Observateur, 14 août 1952)

    Le concept fut critiqué comme étant capitaliste en URSS, et comme étant une invention bourgeoise par Régis Debray.

    Après la chute du mur de Berlin, le terme semble tomber en désuétude, car d'une part, il n'existe plus de second monde (le monde soviétique) et d'autre part, la vision néolibérale ne voit pas de tiers-monde, dès lors que tout le monde serait, selon eux, soumis aux mêmes règles.

    Le terme reste parfois utilisé comme une simplification de langage pour désigner l'ensemble des pays en développement. La plupart sont africains, asiatiques et sud-américains.

  • Origine de l'expression "croque-mort"

    Dans les temps anciens, pour s'assurer que quelqu'un était bien décédé, l'usage voulait qu'une personne en charge de cette vérification morde violemment un des doigts de pied de la victime (généralement le gros orteil). Si rien ne se passait, la personne était déclarée morte.


    C'est donc de là que vient l'appellation de croque-mort. Cette fonction de croque-mort, qui était en fait comme une vraie charge (comme les bourreaux), se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.

    Or, un jour, il arriva une catastrophe : le dernier croque-mort, bien qu'ayant eu de nombreux enfants, n'avait aucun garçon. Sa fille aînée  reprit donc sa charge. Mais voilà que la première victime qu'elle eut à traiter  était un
    homme qui avait eu une grave maladie. La gangrène l'avait en partie  gagné et on lui avait coupé les deux jambes jusqu'à la hauteur des cuisses.
    La jeune fille examina la situation et mordit donc, avec tendresse et précaution, le premier membre inférieur qu'elle put trouver.
    Ce fut à cette époque, et très précisément dans ces circonstances, que l'on passa de l'_expression de croque-mort à celle de pompe funèbre.