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Les Sociétés Secrètes XVII : LE SYNDIC DE SAISIE ROTHSCHILD

A toutes les époques de l'histoire, il y a eu des rois et des dictateurs qui avaient la réputation de dépenser plus d'argent qu'ils ne pouvaient en soustraire à leur peuple en lui faisant payer des impôts. Les nations et les gouvernements empruntaient alors l'argent nécessaire aux banques Mais comment les banques récupéraient-elles cet argent si le gouvernement ne pouvait ou ne voulait pas payer ? La seule solution était la guerre !
La manière dont les banques financèrent les gouvernements fait penser à une institution de crédit qui prête de l'argent à un client pour qu'il puisse s'acheter une voiture. Si le client ne peut plus payer ses traites, la voiture est saisie. Le même système ce appliqué pour le financement des gouvernements. Il ne faut pas prêter de l'argent à un seul pays. Il faut agir de même avec le pays adverse. Le prêteur doit s'assurer que les deux pays sont d'égale puissance pour qu'en cas de conflit, le financement soit le facteur déterminant. Si un pays ne paie pas, le prêteur menacera ce pays de guerre par l'intermédiaire d'un autre pays. Si le premier pays refuse toujours de payer, le prêteur mettra la mainmise sur lui en se servant de l'autre pays qui  fera du premier pays son butin de guerre (voir Machiavel).

La maison Rothschild travaille depuis environ 160 années d'après ce concept (voir § 9 des Protocoles).

Nathan et ses frères commencèrent à jouer ce jeu au siècle dernier en Europe, après leur succès remporté lors des guerres napoléoniennes. A cette époque-là se développa en Europe l' "équilibre des forces". Pour renforcer sa position de "dominateur invisible" en Europe la maison Rothschild dut édifier deux puissances de force presque égale pour assurer l' "équilibre des forces". Les Rothschild devaient s'assurer que tous les rois du camp A pouvaient être menacés par tous les rois du camp B. Ils finançaient bien sûr les deux camps. Mais il fallait alors une troisième puissance qui pourrait servir de police d'assurance au cas ou l'un des pays quitterait les rangs. Ce pays était l'Angleterre de Nathan qui avait, désormais, la suprématie en Europe. C'était facile de prévoir la fin d'une guerre : il suffisait d'observer vers quel côté penchait l'Angleterre car elle se trouvait, en fin de compte, toujours aux côtés du gagnant. L'Angleterre, ou disons plus justement la Couronne, fournissait un "syndic de saisie royal" si efficace que la maison Rothschild finit par contrôler, en ce début de siècle, la moitié des biens de ce monde.
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